Vous êtes marié et vous souhaitez divorcer. Chaque situation est unique et plusieurs types de divorces s’offrent à vous. Lors du premier entretien, l’Avocat écoute attentivement votre situation, vos souhaits et détermine avec vous les objectifs souhaités. Un état des lieux détaillé de votre situation est établi et l’Avocat vous conseille, afin de déterminer quel type de divorce est le plus adapté. Les quatre de types de divorce vous seront expliqués avec les conséquences du choix selon la procédure envisagée.
Dans le cadre du mariage, chacun des époux doit secours à l’autre. Le divorce met fin au devoir de secours entre époux.
Toutefois, l’un des époux peut être tenu de verser à l’autre une prestation destinée à compenser la disparité que la rupture du mariage crée dans les conditions de vie respectives des époux.
La prestation compensatoire a un caractère forfaire et est fixée selon plusieurs critères.
Elle est en principe versée sous forme de capital (soit paiement d’une somme, soit attribution d’un bien immobilier, soit paiement par mensualités sur 8 années…), sous certaines conditions, elle peut être versée sous forme de rente viagère.
Lors de l’évaluation de votre situation, la question de la prestation compensatoire est envisagée.
Le partage du patrimoine des époux, comme la prise en charge des dettes, sont très souvent source de conflits.
Les droits de chacun dépendent du régime matrimonial sous lequel les époux se sont mariés ou qu’ils ont adopté en cours de mariage.
Quel que soit votre situation, le cabinet est particulièrement formé et compétent pour trouver une solution à votre situation.
Dès le stade du divorce, il est envisagé vos intérêts dans le cadre de la liquidation de votre patrimoine, que vous soyez mariés sous le régime de la communauté ou de la séparation.
La procédure de séparation de corps est identique à la procédure de divorce, seuls les effets diffèrent.
La séparation de corps entraîne la séparation des biens.
Le devoir de secours demeure. Il peut donner lieu au versement d’une pension alimentaire à l’époux dans le besoin.
En cas de décès de l’un des époux séparé de corps, l’époux survivant conserve les droits successoraux que la loi accorde à l’époux survivant.
Le lien du mariage n’est pas rompu, les époux ne peuvent se marier avec une autre personne.
A la demande de l’un des époux, le jugement de séparation de corps peut être converti en jugement de divorce lorsque la séparation a été prononcée depuis deux ans au moins.
Vous êtes concubins ou partenaire de PACS et vous vous séparez, l’assistance de l’Avocat peut s’avérer particulièrement utile pour vous aider.
Vous avez acquis un ou des biens ensemble durant la vie commune ou vous avez aidé votre concubin à l’achat d’un bien lui appartenant.
Afin de faire valoir vos droits il conviendra de saisir le Tribunal de Grande Instance avec représentation d’avocat.
Notre cabinet a développé une compétence en matière de liquidations de biens par l’expérience accrue et des formations régulières.
Vous avez des enfants ensemble, il convient de saisir le Juge aux Affaires Familiales afin de fixer les modalités relatives à l’autorité parentale, la résidence des enfants, résidence alternée, droit de visite et d’hébergement durant les fins de semaines et vacances scolaires, pension alimentaire…
Le recours à l’Avocat n’est pas obligatoire devant le juge aux affaires familiales mais est fortement recommandé afin de vous faire profiter de notre expérience et de vous guider dans vos décisions.
Plus une décision est précise moins de conflits naissent par la suite, cela contribue à une séparation apaisée pour vous et vos enfants.
Nous sommes toutes deux membres de l’Association Avocats Défense Enfants, et donc particulièrement attentives au respect des droits des enfants.
Dans le cadre de notre association nous effectuons des formations avec des pédopsychiatres, des psychologues, des professionnels de l’enfance.
Nous intervenons devant le juge aux affaires familiales si votre enfant souhaite être entendu à l’occasion du litige qui le concerne mais également devant le juge des enfants et le juge des tutelles pour les mineurs.
La faute doit être prouvée par l’époux qui reproche une violation graves des devoirs et obligations du mariage.